18 décembre 2009
A Naziha
Parce que la médecine t’a un jour trahie
Parce que je t’ai aimé sans t’avoir connue
On n’a d’yeux que pour toi, O Naziha
Une femme géniale
Une femme sans égal
Les fleurs finissent par faner, toujours mortelles
Pas Naziha, toujours vivante, toujours immortelle
Dans nos pensées, nos cœurs et nos prières.
par Abdelhamid BEN SELMA (18/12/2009)
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