18 décembre 2009
A Naziha
Parce que la médecine t’a un jour trahie Parce que je t’ai aimé sans t’avoir connue On n’a d’yeux que pour toi, O Naziha Une femme géniale Une femme sans égal Les fleurs finissent par faner, toujours mortelles Pas Naziha , toujours vivante, toujours immortelle...